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Si l'atelier d'Oshe Automotive près de Silverstone est loin de l'Afrique, il y a des rappels de ce continent riche de masques tribaux, tissus inspirés de la jungle, en passant par les bois et des garnitures peintes à la main dans les véhicules maison comme ce Defender. Le nom « Osche » lui-même est celui d'un dieu du tonnerre.

David Lane, le fondateur, originaire de Johannesburg, a passé une grande partie de son enfance dans la ferme familiale isolée près de la frontière avec le Botswana, où s’est développée sa passion pour les Land Rover.
Après une carrière réussie dans le conseil en gestion, Lane a lancé un atelier de restauration appelé Workshop Seventy7, construisant toutes sortes de véhicules pour des clients atypiques.

« J’ai toujours aimé le design. J'ai étudié l'art à l'école et l'ingénierie électromécanique. Donc les deux se rejoignent. Les véhicules Oshe doivent avoir un look distinctif, leur style doit donc être un peu différent de ce que font les autres »

Cela se traduit par une mise à jour avec un éclairage à Leds moderne à l'avant et à l'arrière, avec les divers supports d'accessoires robustes.

Les intérieurs sont dotés de nouveaux sièges travaillés à la main selon les désirs des clients. On s’est aussi vraiment concentré sur les détails, depuis la police utilisée sur les instruments jusqu'à l'installation d'une œuvre d'art unique sur le tableau de bord, créée par des artistes tribaux d'Afrique du Sud.

Chaque Land Rover racontera une histoire. À titre d'exemple, la voiture donatrice de cette édition Okovango appartenait autrefois à un journaliste, ainsi des pièces de machine à écrire on servit de pour les P, R et D du sélecteur de vitesses intégré dans une console centrale en acajou.

L'Okovango, est l'une des 4 versions de Land 90 proposées aujourd’hui. Chacune portant le nom d'un grand fleuve africain.

Propulsé par un V8 Rover de 3,5L injection électronique Holley, l’Okavango développe une puissance de 210 ch.

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